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Transport par câble

FRANCHEVILLE <> LYON

Étape 3 sur 3
Bilan de la concertation 16/02/2022 - 15/05/2022
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  • +["Je lis sur votre dossier TPC ce titre « Un mode peu consommateur d’espace » … \nSauf l’espace aérien qui est investi ! 100.000 à 120.000 m² de « survol foncier », est-ce que vous considérez que c’est négligeable ? Mais il n'y a pas que le \"foncier\" : pourquoi n’avez-vous pas estimé le nombre d'habitants non survolés mais qui pourront voir de loin des cabines en mouvement permanent et des pylônes de 50 mètres (les Lyonnais peuvent comparer avec les tours de la basilique de Fourvière qui font 48 mètres) ?\nEn pratique, « Une cabine toutes les 40 secondes » cela signifie combien de cabines vues simultanément dans le ciel lyonnais, par exemple quand on se trouvera sur le plateau franchevillois ou sur le plateau de Ste Foy ? Combien de cabines en tout seront visibles quand on se trouvera sur un quai de Saône (ou du Rhône) etc. ? Pourquoi ne l’avez-vous pas étudié pour les principaux fuseaux (« voici ce qui sera visible de la route du Bruissin, du chemin du Plan du Loup, du quai Rambaud, etc. ») ? Comment voulez-vous que les Lyonnais ne soient pas démoralisés à la page 30 du dossier de concertation, par la vision des cabines serrées en enfilade dans le ciel : c’est ce genre de perspective que vous voulez pour Lyon ? \nVous êtes peut-être séduits par les dessins futuristes reproduits p. 42, 45 et 46 ; mais la vie quotidienne à Lyon n’est pas une BD et le paysage lyonnais n’est pas une illustration d’architecte présentant un environnement flatteur. Comptez-vous faire des photo-montages réalistes qui donneront une idée exacte de ce que verront les « Lyonnais d’en bas » ? \nQuand saurons-nous quel aspect auront les cabines ? les pylônes ? les stations ? Une fois le projet voté, « à l’aveugle » si on peut dire, par la municipalité ? N’est-ce pas illogique ?\nM. Maillard"]
  • +["Je lis sur votre dossier TPC ce titre « Un mode peu consommateur d’espace » … \nSauf l’espace aérien qui est investi ! 100.000 à 120.000 m² de « survol foncier », est-ce que vous considérez que c’est négligeable ? Mais il n'y a pas que le \"foncier\" : pourquoi n’avez-vous pas estimé le nombre d'habitants non survolés mais qui pourront voir de loin des cabines en mouvement permanent et des pylônes de 50 mètres (les Lyonnais peuvent comparer avec les tours de la basilique de Fourvière qui font 48 mètres) ?\nEn pratique, « Une cabine toutes les 40 secondes » cela signifie combien de cabines vues simultanément dans le ciel lyonnais, par exemple quand on se trouvera sur le plateau franchevillois ou sur le plateau de Ste Foy ? Combien de cabines en tout seront visibles quand on se trouvera sur un quai de Saône (ou du Rhône) etc. ? Pourquoi ne l’avez-vous pas étudié pour les principaux fuseaux (« voici ce qui sera visible de la route du Bruissin, du chemin du Plan du Loup, du quai Rambaud, etc. ») ? Comment voulez-vous que les Lyonnais ne soient pas démoralisés à la page 30 du dossier de concertation, par la vision des cabines serrées en enfilade dans le ciel : c’est ce genre de perspective que vous voulez pour Lyon ? \nVous êtes peut-être séduits par les dessins futuristes reproduits p. 42, 45 et 46 ; mais la vie quotidienne à Lyon n’est pas une BD et le paysage lyonnais n’est pas une illustration d’architecte présentant un environnement flatteur. Comptez-vous faire des photo-montages réalistes qui donneront une idée exacte de ce que verront les « Lyonnais d’en bas » ? \nQuand saurons-nous quel aspect auront les cabines ? les pylônes ? les stations ? Une fois le projet voté, « à l’aveugle » si on peut dire, par la municipalité ? N’est-ce pas illogique ?\nM. Maillard"]
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  • +["Je lis sur votre dossier TPC ce titre « Un mode peu consommateur d’espace » … \nSauf l’espace aérien qui est investi ! 100.000 à 120.000 m² de « survol foncier », est-ce que vous considérez que c’est négligeable ? Mais il n'y a pas que le \"foncier\" : pourquoi n’avez-vous pas estimé le nombre d'habitants non survolés mais qui pourront voir de loin des cabines en mouvement permanent et des pylônes de 50 mètres (les Lyonnais peuvent comparer avec les tours de la basilique de Fourvière qui font 48 mètres) ?\nEn pratique, « Une cabine toutes les 40 secondes » cela signifie combien de cabines vues simultanément dans le ciel lyonnais, par exemple quand on se trouvera sur le plateau franchevillois ou sur le plateau de Ste Foy ? Combien de cabines en tout seront visibles quand on se trouvera sur un quai de Saône (ou du Rhône) etc. ? Pourquoi ne l’avez-vous pas étudié pour les principaux fuseaux (« voici ce qui sera visible de la route du Bruissin, du chemin du Plan du Loup, du quai Rambaud, etc. ») ? Comment voulez-vous que les Lyonnais ne soient pas démoralisés à la page 30 du dossier de concertation, par la vision des cabines serrées en enfilade dans le ciel : c’est ce genre de perspective que vous voulez pour Lyon ? \nVous êtes peut-être séduits par les dessins futuristes reproduits p. 42, 45 et 46 ; mais la vie quotidienne à Lyon n’est pas une BD et le paysage lyonnais n’est pas une illustration d’architecte présentant un environnement flatteur. Comptez-vous faire des photo-montages réalistes qui donneront une idée exacte de ce que verront les « Lyonnais d’en bas » ? \nQuand saurons-nous quel aspect auront les cabines ? les pylônes ? les stations ? Une fois le projet voté, « à l’aveugle » si on peut dire, par la municipalité ? N’est-ce pas illogique ?\nM. Maillard"]
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  • +["Je lis sur votre dossier TPC ce titre « Un mode peu consommateur d’espace » … \nSauf l’espace aérien qui est investi ! 100.000 à 120.000 m² de « survol foncier », est-ce que vous considérez que c’est négligeable ? Mais il n'y a pas que le \"foncier\" : pourquoi n’avez-vous pas estimé le nombre d'habitants non survolés mais qui pourront voir de loin des cabines en mouvement permanent et des pylônes de 50 mètres (les Lyonnais peuvent comparer avec les tours de la basilique de Fourvière qui font 48 mètres) ?\nEn pratique, « Une cabine toutes les 40 secondes » cela signifie combien de cabines vues simultanément dans le ciel lyonnais, par exemple quand on se trouvera sur le plateau franchevillois ou sur le plateau de Ste Foy ? Combien de cabines en tout seront visibles quand on se trouvera sur un quai de Saône (ou du Rhône) etc. ? Pourquoi ne l’avez-vous pas étudié pour les principaux fuseaux (« voici ce qui sera visible de la route du Bruissin, du chemin du Plan du Loup, du quai Rambaud, etc. ») ? Comment voulez-vous que les Lyonnais ne soient pas démoralisés à la page 30 du dossier de concertation, par la vision des cabines serrées en enfilade dans le ciel : c’est ce genre de perspective que vous voulez pour Lyon ? \nVous êtes peut-être séduits par les dessins futuristes reproduits p. 42, 45 et 46 ; mais la vie quotidienne à Lyon n’est pas une BD et le paysage lyonnais n’est pas une illustration d’architecte présentant un environnement flatteur. Comptez-vous faire des photo-montages réalistes qui donneront une idée exacte de ce que verront les « Lyonnais d’en bas » ? \nQuand saurons-nous quel aspect auront les cabines ? les pylônes ? les stations ? Une fois le projet voté, « à l’aveugle » si on peut dire, par la municipalité ? N’est-ce pas illogique ?\nM. Maillard"]
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Avatar: Maillard Maillard
Version créée le 17/12/2021 12:52