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Changements sur "Un exemple de réponse non pertinente (sur les problèmes d'intrusions visuelles)"

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• +["A ma question portant sur les problèmes d'intrusions visuelles à partir des cabines dans l'intérieur des résidences, il m'a été répondu: \"Le survol de voiries existantes est privilégié et les implantations de stations privilégieront du foncier public plutôt que privé.\nPar ailleurs, dans les transports par câble urbains, les cabines sont conçues de manière à empêcher la visibilité verticale sur les habitations survolées. Les parois sont opaques et les vitres hautes, octroyant ainsi une faible visibilité vers le bas. Enfin, une distance règlementaire minimale de 20 mètres des bâtiments doit être respectée.\"\nMon commentaire: Pour les deux parcours TPC nord, une longue section doit en effet emprunter le Vallon des prés sur Ste Foy. Correct pour l'espace public, sauf qu'il s'agit bien d'un VALLON, i.e. une vallée dont l'altitude moyenne du thalweg est de 250 m, soit 30 m environ au-dessus de l'altitude constante des plateaux/terrasses qui la bordent. Une simple construction géométrique, à laquelle vous n'avez semble-t-il pas du tout songé, montre que les cabines seront sur cette longue section A LA HAUTEUR des résidences, ce qui rend inopérants vos dispositifs d'obturation visuelle sur les cabines ! Des pylônes d'une hauteur de 50 m dans le Vallon des prés, non, même pas en cauchemar !"]

• +["A ma question portant sur les problèmes d'intrusions visuelles à partir des cabines dans l'intérieur des résidences, il m'a été répondu: \"Le survol de voiries existantes est privilégié et les implantations de stations privilégieront du foncier public plutôt que privé.\nPar ailleurs, dans les transports par câble urbains, les cabines sont conçues de manière à empêcher la visibilité verticale sur les habitations survolées. Les parois sont opaques et les vitres hautes, octroyant ainsi une faible visibilité vers le bas. Enfin, une distance règlementaire minimale de 20 mètres des bâtiments doit être respectée.\"\nMon commentaire: Pour les deux parcours TPC nord, une longue section doit en effet emprunter le Vallon des prés sur Ste Foy. Correct pour l'espace public, sauf qu'il s'agit bien d'un VALLON, i.e. une vallée dont l'altitude moyenne du thalweg est de 250 m, soit 30 m environ au-dessus de l'altitude constante des plateaux/terrasses qui la bordent. Une simple construction géométrique, à laquelle vous n'avez semble-t-il pas du tout songé, montre que les cabines seront sur cette longue section A LA HAUTEUR des résidences, ce qui rend inopérants vos dispositifs d'obturation visuelle sur les cabines ! Des pylônes d'une hauteur de 50 m dans le Vallon des prés, non, même pas en cauchemar !"]

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• +["A ma question portant sur les problèmes d'intrusions visuelles à partir des cabines dans l'intérieur des résidences, il m'a été répondu: \"Le survol de voiries existantes est privilégié et les implantations de stations privilégieront du foncier public plutôt que privé.\nPar ailleurs, dans les transports par câble urbains, les cabines sont conçues de manière à empêcher la visibilité verticale sur les habitations survolées. Les parois sont opaques et les vitres hautes, octroyant ainsi une faible visibilité vers le bas. Enfin, une distance règlementaire minimale de 20 mètres des bâtiments doit être respectée.\"\nMon commentaire: Pour les deux parcours TPC nord, une longue section doit en effet emprunter le Vallon des prés sur Ste Foy. Correct pour l'espace public, sauf qu'il s'agit bien d'un VALLON, i.e. une vallée dont l'altitude moyenne du thalweg est de 250 m, soit 30 m environ au-dessus de l'altitude constante des plateaux/terrasses qui la bordent. Une simple construction géométrique, à laquelle vous n'avez semble-t-il pas du tout songé, montre que les cabines seront sur cette longue section A LA HAUTEUR des résidences, ce qui rend inopérants vos dispositifs d'obturation visuelle sur les cabines ! Des pylônes d'une hauteur de 50 m dans le Vallon des prés, non, même pas en cauchemar !"]

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• +["A ma question portant sur les problèmes d'intrusions visuelles à partir des cabines dans l'intérieur des résidences, il m'a été répondu: \"Le survol de voiries existantes est privilégié et les implantations de stations privilégieront du foncier public plutôt que privé.\nPar ailleurs, dans les transports par câble urbains, les cabines sont conçues de manière à empêcher la visibilité verticale sur les habitations survolées. Les parois sont opaques et les vitres hautes, octroyant ainsi une faible visibilité vers le bas. Enfin, une distance règlementaire minimale de 20 mètres des bâtiments doit être respectée.\"\nMon commentaire: Pour les deux parcours TPC nord, une longue section doit en effet emprunter le Vallon des prés sur Ste Foy. Correct pour l'espace public, sauf qu'il s'agit bien d'un VALLON, i.e. une vallée dont l'altitude moyenne du thalweg est de 250 m, soit 30 m environ au-dessus de l'altitude constante des plateaux/terrasses qui la bordent. Une simple construction géométrique, à laquelle vous n'avez semble-t-il pas du tout songé, montre que les cabines seront sur cette longue section A LA HAUTEUR des résidences, ce qui rend inopérants vos dispositifs d'obturation visuelle sur les cabines ! Des pylônes d'une hauteur de 50 m dans le Vallon des prés, non, même pas en cauchemar !"]

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Auteur de la version

Gilles Dromart

Version créée le 06/02/2022 12:57