Transport par câble

FRANCHEVILLE <> LYON

Étape 3 sur 3

Bilan de la concertation 16/02/2022 - 15/05/2022

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Changements sur "Projet incompatible avec les documents de planification à long terme"

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+{"fr"=>"Projet incompatible avec les documents de planification à long terme"}

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+["Ce projet n'est compatible ni avec le texte, ni avec l'esprit du SCOT (schéma de cohérence territoriale) et du PDU (plan des déplacements urbains). Ce sont des documents de cadrage à long terme (2030), qui orientent le développement de l'agglomération lyonnaise : \n- « organisation multipolaire qui vise à localiser habitat, emplois et services dans des polarités urbaines bien équipées et bien desservies, pour permettre une utilisation plus économe de l’espace » pour le SCOT\n- « La ligne forte A2 (Presqu’île-Francheville) ... permettra d’améliorer la performance de la desserte en transports collectifs du 5e arrondissement de Lyon en limite de Sainte-Foy-lès-Lyon, en accompagnement notamment du développement urbain attendu dans le corridor urbain autour de la rue du Commandant Charcot » pour le PDU.\n- « Ligne forte A2 à programmer d'ici 2030, métro E programmé en études d'ici 2022 », également pour le PDU\nLe respect de ces orientations et de ce cadrage est une condition nécessaire pour envisager une déclaration d'utilité publique, et l'obtention des autorisations administratives pour ce transport par câble.\n\nMon argumentation détaillée (7 pages) est attachée en pièce jointe.\n\nMalgré le caractère séduisant de cette technique de transport par câble, et l'objectif louable de réduire rapidement les nuisances de la voiture en ville, l'examen du dossier montre également:\n- un périmètre d'études inadapté (le 5ème arrondissement de Lyon et l'interaction avec le projet de métro E doivent être inclus dans la réflexion).\n- une définition erronée des alternatives : il faut partir des besoins de chaque territoire et non des réponses imparfaites apportées par les tracés possibles du câble\n\nMerci pour cette concertation, merci à tous ceux qui y ont déjà contribué par leurs questions et leurs avis, et à ceux qui l'ont organisée. Merci au Sytral qui a déjà bien répondu à de multiples interrogations. J'espère qu'elle permettra de remettre la réflexion sur de bons rails, et mettant en évidence que le métro E doit être accéléré pour répondre aux besoins de mobilité, de structuration de la métropole, et de protection des populations.\n \nChristian Maisonnier (fidésien, ancien chargé de mission transports à la préfecture à Lyon et à la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes)."]

+["Ce projet n'est compatible ni avec le texte, ni avec l'esprit du SCOT (schéma de cohérence territoriale) et du PDU (plan des déplacements urbains). Ce sont des documents de cadrage à long terme (2030), qui orientent le développement de l'agglomération lyonnaise : \n- « organisation multipolaire qui vise à localiser habitat, emplois et services dans des polarités urbaines bien équipées et bien desservies, pour permettre une utilisation plus économe de l’espace » pour le SCOT\n- « La ligne forte A2 (Presqu’île-Francheville) ... permettra d’améliorer la performance de la desserte en transports collectifs du 5e arrondissement de Lyon en limite de Sainte-Foy-lès-Lyon, en accompagnement notamment du développement urbain attendu dans le corridor urbain autour de la rue du Commandant Charcot » pour le PDU.\n- « Ligne forte A2 à programmer d'ici 2030, métro E programmé en études d'ici 2022 », également pour le PDU\nLe respect de ces orientations et de ce cadrage est une condition nécessaire pour envisager une déclaration d'utilité publique, et l'obtention des autorisations administratives pour ce transport par câble.\n\nMon argumentation détaillée (7 pages) est attachée en pièce jointe.\n\nMalgré le caractère séduisant de cette technique de transport par câble, et l'objectif louable de réduire rapidement les nuisances de la voiture en ville, l'examen du dossier montre également:\n- un périmètre d'études inadapté (le 5ème arrondissement de Lyon et l'interaction avec le projet de métro E doivent être inclus dans la réflexion).\n- une définition erronée des alternatives : il faut partir des besoins de chaque territoire et non des réponses imparfaites apportées par les tracés possibles du câble\n\nMerci pour cette concertation, merci à tous ceux qui y ont déjà contribué par leurs questions et leurs avis, et à ceux qui l'ont organisée. Merci au Sytral qui a déjà bien répondu à de multiples interrogations. J'espère qu'elle permettra de remettre la réflexion sur de bons rails, et mettant en évidence que le métro E doit être accéléré pour répondre aux besoins de mobilité, de structuration de la métropole, et de protection des populations.\n \nChristian Maisonnier (fidésien, ancien chargé de mission transports à la préfecture à Lyon et à la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes)."]

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+["Ce projet n'est compatible ni avec le texte, ni avec l'esprit du SCOT (schéma de cohérence territoriale) et du PDU (plan des déplacements urbains). Ce sont des documents de cadrage à long terme (2030), qui orientent le développement de l'agglomération lyonnaise : \n- « organisation multipolaire qui vise à localiser habitat, emplois et services dans des polarités urbaines bien équipées et bien desservies, pour permettre une utilisation plus économe de l’espace » pour le SCOT\n- « La ligne forte A2 (Presqu’île-Francheville) ... permettra d’améliorer la performance de la desserte en transports collectifs du 5e arrondissement de Lyon en limite de Sainte-Foy-lès-Lyon, en accompagnement notamment du développement urbain attendu dans le corridor urbain autour de la rue du Commandant Charcot » pour le PDU.\n- « Ligne forte A2 à programmer d'ici 2030, métro E programmé en études d'ici 2022 », également pour le PDU\nLe respect de ces orientations et de ce cadrage est une condition nécessaire pour envisager une déclaration d'utilité publique, et l'obtention des autorisations administratives pour ce transport par câble.\n\nMon argumentation détaillée (7 pages) est attachée en pièce jointe.\n\nMalgré le caractère séduisant de cette technique de transport par câble, et l'objectif louable de réduire rapidement les nuisances de la voiture en ville, l'examen du dossier montre également:\n- un périmètre d'études inadapté (le 5ème arrondissement de Lyon et l'interaction avec le projet de métro E doivent être inclus dans la réflexion).\n- une définition erronée des alternatives : il faut partir des besoins de chaque territoire et non des réponses imparfaites apportées par les tracés possibles du câble\n\nMerci pour cette concertation, merci à tous ceux qui y ont déjà contribué par leurs questions et leurs avis, et à ceux qui l'ont organisée. Merci au Sytral qui a déjà bien répondu à de multiples interrogations. J'espère qu'elle permettra de remettre la réflexion sur de bons rails, et mettant en évidence que le métro E doit être accéléré pour répondre aux besoins de mobilité, de structuration de la métropole, et de protection des populations.\n \nChristian Maisonnier (fidésien, ancien chargé de mission transports à la préfecture à Lyon et à la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes)."]

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+["Ce projet n'est compatible ni avec le texte, ni avec l'esprit du SCOT (schéma de cohérence territoriale) et du PDU (plan des déplacements urbains). Ce sont des documents de cadrage à long terme (2030), qui orientent le développement de l'agglomération lyonnaise : \n- « organisation multipolaire qui vise à localiser habitat, emplois et services dans des polarités urbaines bien équipées et bien desservies, pour permettre une utilisation plus économe de l’espace » pour le SCOT\n- « La ligne forte A2 (Presqu’île-Francheville) ... permettra d’améliorer la performance de la desserte en transports collectifs du 5e arrondissement de Lyon en limite de Sainte-Foy-lès-Lyon, en accompagnement notamment du développement urbain attendu dans le corridor urbain autour de la rue du Commandant Charcot » pour le PDU.\n- « Ligne forte A2 à programmer d'ici 2030, métro E programmé en études d'ici 2022 », également pour le PDU\nLe respect de ces orientations et de ce cadrage est une condition nécessaire pour envisager une déclaration d'utilité publique, et l'obtention des autorisations administratives pour ce transport par câble.\n\nMon argumentation détaillée (7 pages) est attachée en pièce jointe.\n\nMalgré le caractère séduisant de cette technique de transport par câble, et l'objectif louable de réduire rapidement les nuisances de la voiture en ville, l'examen du dossier montre également:\n- un périmètre d'études inadapté (le 5ème arrondissement de Lyon et l'interaction avec le projet de métro E doivent être inclus dans la réflexion).\n- une définition erronée des alternatives : il faut partir des besoins de chaque territoire et non des réponses imparfaites apportées par les tracés possibles du câble\n\nMerci pour cette concertation, merci à tous ceux qui y ont déjà contribué par leurs questions et leurs avis, et à ceux qui l'ont organisée. Merci au Sytral qui a déjà bien répondu à de multiples interrogations. J'espère qu'elle permettra de remettre la réflexion sur de bons rails, et mettant en évidence que le métro E doit être accéléré pour répondre aux besoins de mobilité, de structuration de la métropole, et de protection des populations.\n \nChristian Maisonnier (fidésien, ancien chargé de mission transports à la préfecture à Lyon et à la DREAL Auvergne-Rhône-Alpes)."]

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Auteur de la version

Christian Maisonnier

Version créée le 06/01/2022 16:59