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Étape 3 sur 3
Bilan de la concertation 16/02/2022 - 15/05/2022
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Changements sur "De « l’insertion paysagère » de pylônes de 65 m et de gares de 25 m !"

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  • +{"fr"=>"De « l’insertion paysagère » de pylônes de 65 m et de gares de 25 m !"}
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  • +["Le dossier de concertation et les dossiers techniques restent très vagues quant à l’insertion paysagère des pylônes et des gares ; ce point a malheureusement été confirmé par les réponses évasives et sans informations concrètes fournies pendant les réunions de concertation.\n\nL’implantation de pylônes jusqu’à 65 m de haut (80 m en technologie 3S) bouleverserait évidemment le paysage des communes concernées et créerait des nuisances visuelles majeures. Sur la question de l’empreinte au sol, limitée à 10 x 10 m selon le Sytral, une impasse complète est faite sur les chemins d’accès à chaque pylône pour la maintenance et les véhicules de secours pour évacuation en cas d’accident. Cette servitude de passage, par ailleurs très faiblement indemnisée, augmenterait notablement l’empreinte au sol.\n\nMais ce sont également les gares qui poseraient un problème majeur d’insertion paysagère. Avec des quais parfois à 25 m de hauteur (soit un immeuble R+7), dans des zones pavillonnaires denses, où le PLU-H limite les hauteurs de façade à 7 m (zone URi2c) ou 10 m (URm2a), comment imaginer un instant une « insertion » harmonieuse ? A voir les stations construites à Toulouse, les gares créeraient des nuisances visuelles majeures et irrémédiables.\n\nLe dossier de concertation ignore également les Monuments Historiques présents à moins de 500 m de certains tracés, dont la Tour du Télégraphe Chappe, le Séminaire Saint-Irénée ou l’Acqueduc. Un transport par câble serait-il au-dessus des règles imposées à tous les citoyens pour préserver notre patrimoine commun ? Sans parler de l’archéologie des sous-sols, riches de notre histoire depuis plusieurs millénaires, et que les fondations des pylônes ne manqueraient pas de mettre à jour !\n\nOn le voit, « l’insertion paysagère » est un leurre, un élément de langage du Sytral qui se veut rassurant, mais qui est impossible dans un environnement aussi contraint."]
  • +["Le dossier de concertation et les dossiers techniques restent très vagues quant à l’insertion paysagère des pylônes et des gares ; ce point a malheureusement été confirmé par les réponses évasives et sans informations concrètes fournies pendant les réunions de concertation.\n\nL’implantation de pylônes jusqu’à 65 m de haut (80 m en technologie 3S) bouleverserait évidemment le paysage des communes concernées et créerait des nuisances visuelles majeures. Sur la question de l’empreinte au sol, limitée à 10 x 10 m selon le Sytral, une impasse complète est faite sur les chemins d’accès à chaque pylône pour la maintenance et les véhicules de secours pour évacuation en cas d’accident. Cette servitude de passage, par ailleurs très faiblement indemnisée, augmenterait notablement l’empreinte au sol.\n\nMais ce sont également les gares qui poseraient un problème majeur d’insertion paysagère. Avec des quais parfois à 25 m de hauteur (soit un immeuble R+7), dans des zones pavillonnaires denses, où le PLU-H limite les hauteurs de façade à 7 m (zone URi2c) ou 10 m (URm2a), comment imaginer un instant une « insertion » harmonieuse ? A voir les stations construites à Toulouse, les gares créeraient des nuisances visuelles majeures et irrémédiables.\n\nLe dossier de concertation ignore également les Monuments Historiques présents à moins de 500 m de certains tracés, dont la Tour du Télégraphe Chappe, le Séminaire Saint-Irénée ou l’Acqueduc. Un transport par câble serait-il au-dessus des règles imposées à tous les citoyens pour préserver notre patrimoine commun ? Sans parler de l’archéologie des sous-sols, riches de notre histoire depuis plusieurs millénaires, et que les fondations des pylônes ne manqueraient pas de mettre à jour !\n\nOn le voit, « l’insertion paysagère » est un leurre, un élément de langage du Sytral qui se veut rassurant, mais qui est impossible dans un environnement aussi contraint."]
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  • +["Le dossier de concertation et les dossiers techniques restent très vagues quant à l’insertion paysagère des pylônes et des gares ; ce point a malheureusement été confirmé par les réponses évasives et sans informations concrètes fournies pendant les réunions de concertation.\n\nL’implantation de pylônes jusqu’à 65 m de haut (80 m en technologie 3S) bouleverserait évidemment le paysage des communes concernées et créerait des nuisances visuelles majeures. Sur la question de l’empreinte au sol, limitée à 10 x 10 m selon le Sytral, une impasse complète est faite sur les chemins d’accès à chaque pylône pour la maintenance et les véhicules de secours pour évacuation en cas d’accident. Cette servitude de passage, par ailleurs très faiblement indemnisée, augmenterait notablement l’empreinte au sol.\n\nMais ce sont également les gares qui poseraient un problème majeur d’insertion paysagère. Avec des quais parfois à 25 m de hauteur (soit un immeuble R+7), dans des zones pavillonnaires denses, où le PLU-H limite les hauteurs de façade à 7 m (zone URi2c) ou 10 m (URm2a), comment imaginer un instant une « insertion » harmonieuse ? A voir les stations construites à Toulouse, les gares créeraient des nuisances visuelles majeures et irrémédiables.\n\nLe dossier de concertation ignore également les Monuments Historiques présents à moins de 500 m de certains tracés, dont la Tour du Télégraphe Chappe, le Séminaire Saint-Irénée ou l’Acqueduc. Un transport par câble serait-il au-dessus des règles imposées à tous les citoyens pour préserver notre patrimoine commun ? Sans parler de l’archéologie des sous-sols, riches de notre histoire depuis plusieurs millénaires, et que les fondations des pylônes ne manqueraient pas de mettre à jour !\n\nOn le voit, « l’insertion paysagère » est un leurre, un élément de langage du Sytral qui se veut rassurant, mais qui est impossible dans un environnement aussi contraint."]
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Avatar: Philippe Charreau Philippe Charreau
Version créée le 13/02/2022 12:38
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