Transport par câble
FRANCHEVILLE <> LYON
Ce mode de transport apparaît complètement inadapté aux besoins réels des populations concernées (combien de milliers de personnes avec leurs cadres et leurs conditions de vie extrêmement dégradés par rapport aux quelques milliers qui vont être effectivement transportées ?), au site (Pollution visuelle et sonore immense et permanente engendrant la destruction de la ceinture verte avec une flore et faune à protéger à la demande du Grand Lyon : souhaite-t-on une écologie qui se fasse contre les gens et contre l’environnement ?) et au climat (Près de 50 jours de vents violents par an à Lyon qui empêcheront le téléphérique de circuler – sans compter les périodes de maintenance comme pour le funiculaire, que feront les gens dans ce cas-là, ils prendront leur voiture la voiture comme ils en ont l’habitude grossissant encore les bouchons qui deviennent la norme partout en ville et en périphérie. Face à ces conditions aléatoires, comment fidéliser les gens sur cette offre de transport, notamment pour le travail, s’ils ne sont pas sûrs d’être à l’heure chez eux ou pour gagner leur vie).
Il faut doter la deuxième métropole de France des transports en communs qu’elle mérite et surtout penser sur le long terme, ce qui devrait être le maître-mot quand on pense à l’écologie. C’est la ligne de métro E qui ira plus loin, transportera plus de monde et ne s’arrêtera pas à la moindre brise, qui désenclavera une plus grande partie de l’Ouest lyonnais, touchera une population bien grande et pourra entrer dans Lyon jusqu’à Bellecour ou Part-Dieu et non pas s’arrêter à Confluence où il n’y a aucune connexion intéressante et où le tramway est déjà saturé. Le métro en souterrain, s’il est sans doute plus onéreux, ne défigure pas le paysage, réduit les impacts environnementaux et permet de privilégier des axes de transports en surface pour les tramways, les bus, les vélos, et même les piétons. Par ailleurs, un métro peut, quand des grands axes existent, être aérien.
Un métro bien pensé permet de créer des axes de transports longs et d’aménager les ruptures de charges vers d’autres modes de transports (c’est-à-dire qu’il ne faut pas faire l’erreur du centre d’échange de Perrache ou la rupture de charge a été tout simplement mal faite rendant le passage aux tramways insupportable).
Le téléphérique est un projet sous-évalué budgétairement, surévalué en fréquentation et destructeur de paysage : c’est un non-sens. À croire qu’une malédiction touche les municipalités successives de Lyon : destruction de l’hôpital de la Charité, construction du centre d’échange de Perrache et le téléphérique.
Les seules personnes pour ce projet sont des personnes qui n’habitent pas la zone concernée et n’ont pas à se préoccuper des déplacements pendulaires.
La mise en place de nouvelles habitudes de transports et de modalités plus respectueuses de l’environnement ne se feront qu’avec les populations et les usagers et non pas contre eux. Dans ce domaine comme dans d’autres, l’élitisme idéologique et le mépris sont à proscrire.
Un projet court-termiste, qui n’aime ni ne comprend la ville et ses habitants ne pourra répondre à l’urgence écologique dont il se revendique.
Il faut doter la deuxième métropole de France des transports en communs qu’elle mérite et surtout penser sur le long terme, ce qui devrait être le maître-mot quand on pense à l’écologie. C’est la ligne de métro E qui ira plus loin, transportera plus de monde et ne s’arrêtera pas à la moindre brise, qui désenclavera une plus grande partie de l’Ouest lyonnais, touchera une population bien grande et pourra entrer dans Lyon jusqu’à Bellecour ou Part-Dieu et non pas s’arrêter à Confluence où il n’y a aucune connexion intéressante et où le tramway est déjà saturé. Le métro en souterrain, s’il est sans doute plus onéreux, ne défigure pas le paysage, réduit les impacts environnementaux et permet de privilégier des axes de transports en surface pour les tramways, les bus, les vélos, et même les piétons. Par ailleurs, un métro peut, quand des grands axes existent, être aérien.
Un métro bien pensé permet de créer des axes de transports longs et d’aménager les ruptures de charges vers d’autres modes de transports (c’est-à-dire qu’il ne faut pas faire l’erreur du centre d’échange de Perrache ou la rupture de charge a été tout simplement mal faite rendant le passage aux tramways insupportable).
Le téléphérique est un projet sous-évalué budgétairement, surévalué en fréquentation et destructeur de paysage : c’est un non-sens. À croire qu’une malédiction touche les municipalités successives de Lyon : destruction de l’hôpital de la Charité, construction du centre d’échange de Perrache et le téléphérique.
Les seules personnes pour ce projet sont des personnes qui n’habitent pas la zone concernée et n’ont pas à se préoccuper des déplacements pendulaires.
La mise en place de nouvelles habitudes de transports et de modalités plus respectueuses de l’environnement ne se feront qu’avec les populations et les usagers et non pas contre eux. Dans ce domaine comme dans d’autres, l’élitisme idéologique et le mépris sont à proscrire.
Un projet court-termiste, qui n’aime ni ne comprend la ville et ses habitants ne pourra répondre à l’urgence écologique dont il se revendique.
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