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Bilan de la concertation 16/02/2022 - 15/05/2022
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Changements sur "Annoncer 11 heures annuelles d'indisponibilité due au vent est sous estimé"

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  • +["Page 45, le rapport indique à propos de la gestion de l’équipement : « Il appartient aux exploitants en coordination avec les caractéristiques du système précisées par le constructeur de définir les vitesses d’exploitation acceptables selon les seuils de vents. » et rappelle les seuils de vitesse de vent (55 km/h et 90 km/h) se trouvant dans les dossiers du STRMTG. L’effet du vent est lié à sa vitesse et aussi à la pression atmosphérique du lieu, tout un chacun le comprend ; ainsi, pour une vitesse de vent donnée, la force appliquée sur une cabine peut être supportable à 2000 m d’altitude, mais ne l’est certainement pas à l’altitude de 150 - 250 m. Le Sytral peut-il confirmer que les vitesses retenues s’appliquent pour les altitudes 150 -250 m du périmètre de l’étude ? Plutôt que donner des heures annuelles d’indisponibilité, le Sytral peut-il indiquer le nombre de jours impactés par des alertes ‘vents violents’ ? Enfin, le Sytral a-t-il connaissance et peut-il nous informer de manière transparente des procédures appliquées par les exploitants des TPC cités dans le dossier ? La question n’a pas eu de réponse claire à ce jour. Elle est sérieuse, parce qu’elle préjuge de la disponibilité réelle et effective des équipements, et la moyenne d’heures annuelles de vent dépassant 55 et 90 km/h à la station météo de Bron ne peut pas être considéré comme un indicateur pertinent pour le périmètre objet du projet TPC."]
  • +["Page 45, le rapport indique à propos de la gestion de l’équipement : « Il appartient aux exploitants en coordination avec les caractéristiques du système précisées par le constructeur de définir les vitesses d’exploitation acceptables selon les seuils de vents. » et rappelle les seuils de vitesse de vent (55 km/h et 90 km/h) se trouvant dans les dossiers du STRMTG. L’effet du vent est lié à sa vitesse et aussi à la pression atmosphérique du lieu, tout un chacun le comprend ; ainsi, pour une vitesse de vent donnée, la force appliquée sur une cabine peut être supportable à 2000 m d’altitude, mais ne l’est certainement pas à l’altitude de 150 - 250 m. Le Sytral peut-il confirmer que les vitesses retenues s’appliquent pour les altitudes 150 -250 m du périmètre de l’étude ? Plutôt que donner des heures annuelles d’indisponibilité, le Sytral peut-il indiquer le nombre de jours impactés par des alertes ‘vents violents’ ? Enfin, le Sytral a-t-il connaissance et peut-il nous informer de manière transparente des procédures appliquées par les exploitants des TPC cités dans le dossier ? La question n’a pas eu de réponse claire à ce jour. Elle est sérieuse, parce qu’elle préjuge de la disponibilité réelle et effective des équipements, et la moyenne d’heures annuelles de vent dépassant 55 et 90 km/h à la station météo de Bron ne peut pas être considéré comme un indicateur pertinent pour le périmètre objet du projet TPC."]
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  • +["Page 45, le rapport indique à propos de la gestion de l’équipement : « Il appartient aux exploitants en coordination avec les caractéristiques du système précisées par le constructeur de définir les vitesses d’exploitation acceptables selon les seuils de vents. » et rappelle les seuils de vitesse de vent (55 km/h et 90 km/h) se trouvant dans les dossiers du STRMTG. L’effet du vent est lié à sa vitesse et aussi à la pression atmosphérique du lieu, tout un chacun le comprend ; ainsi, pour une vitesse de vent donnée, la force appliquée sur une cabine peut être supportable à 2000 m d’altitude, mais ne l’est certainement pas à l’altitude de 150 - 250 m. Le Sytral peut-il confirmer que les vitesses retenues s’appliquent pour les altitudes 150 -250 m du périmètre de l’étude ? Plutôt que donner des heures annuelles d’indisponibilité, le Sytral peut-il indiquer le nombre de jours impactés par des alertes ‘vents violents’ ? Enfin, le Sytral a-t-il connaissance et peut-il nous informer de manière transparente des procédures appliquées par les exploitants des TPC cités dans le dossier ? La question n’a pas eu de réponse claire à ce jour. Elle est sérieuse, parce qu’elle préjuge de la disponibilité réelle et effective des équipements, et la moyenne d’heures annuelles de vent dépassant 55 et 90 km/h à la station météo de Bron ne peut pas être considéré comme un indicateur pertinent pour le périmètre objet du projet TPC."]
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  • +["Page 45, le rapport indique à propos de la gestion de l’équipement : « Il appartient aux exploitants en coordination avec les caractéristiques du système précisées par le constructeur de définir les vitesses d’exploitation acceptables selon les seuils de vents. » et rappelle les seuils de vitesse de vent (55 km/h et 90 km/h) se trouvant dans les dossiers du STRMTG. L’effet du vent est lié à sa vitesse et aussi à la pression atmosphérique du lieu, tout un chacun le comprend ; ainsi, pour une vitesse de vent donnée, la force appliquée sur une cabine peut être supportable à 2000 m d’altitude, mais ne l’est certainement pas à l’altitude de 150 - 250 m. Le Sytral peut-il confirmer que les vitesses retenues s’appliquent pour les altitudes 150 -250 m du périmètre de l’étude ? Plutôt que donner des heures annuelles d’indisponibilité, le Sytral peut-il indiquer le nombre de jours impactés par des alertes ‘vents violents’ ? Enfin, le Sytral a-t-il connaissance et peut-il nous informer de manière transparente des procédures appliquées par les exploitants des TPC cités dans le dossier ? La question n’a pas eu de réponse claire à ce jour. Elle est sérieuse, parce qu’elle préjuge de la disponibilité réelle et effective des équipements, et la moyenne d’heures annuelles de vent dépassant 55 et 90 km/h à la station météo de Bron ne peut pas être considéré comme un indicateur pertinent pour le périmètre objet du projet TPC."]
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Avatar: francois caupin francois caupin
Version créée le 08/01/2022 17:47

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