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FRANCHEVILLE <> LYON

Étape 3 sur 3
Bilan de la concertation 16/02/2022 - 15/05/2022
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Changements sur "Comment, lorsqu’on habite le long d’un des tracés envisagés, rester serein à l’idée d’avoir à subir des agressions sonores aussi répétitives ?"

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  • +{"fr"=>"Comment, lorsqu’on habite le long d’un des tracés envisagés, rester serein à l’idée d’avoir à subir des agressions sonores aussi répétitives ?"}
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  • +["Quel que soit le fuseau envisagé, le bruit et les vibrations engendrés par le TPC auraient des effets délétères sur la santé des riverains.\n\nPage 48 de votre « dossier de concertation », rien de rassurant : \n[…] « Il n’existe actuellement pas de réglementation encadrant l’impact acoustique des modes de transport par câble en ville. » […] \n« Ces mesures font état d’émissions de l’ordre de 60 à 75 décibels (dB) au niveau des éléments en mouvement à l’intérieur des stations et en tête des pylônes (source mesures CEREMA). » (1)\n\nDepuis le 15 décembre, aucune question posée sur votre plateforme n’a reçu de réponse, pas plus à propos des nuisances sonores que des autres problèmes soulevés. De toute façon, avant cette date, les réponses apportées se contentaient de renvoyer à la page 48 de votre dossier ou restaient très générales et donc, en réalité, ne répondaient pas aux questions.\n\nPlusieurs contributions portent sur les effets des vibrations, infrasons, basses fréquences… \nAinsi, il a été fait référence à une étude épidémiologique : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412021005997\n\nAvant-hier, l’émission « Grand bien vous fasse » sur France Inter posait la question suivante : « Le bruit peut-il nous rendre malades ? » Pour l’écouter : https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-10-janvier-2022\nQuelques éléments de réponse, sans surprise : \n« Inconsciemment, le bruit nous ronge, surtout lorsqu’il est modéré, il nous ronge un peu tous les jours et même si on a l’impression de s’habituer, en fait, le corps encaisse cette nuisance et cette charge. »\n« Le stress chronique peut entraîner une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et puis des études européennes ont montré que les personnes exposées à des nuisances sonores chroniques de plus de 50 dB connaissaient davantage de cas d’hypertension, d’AVC ou de crises cardiaques […] Quand ça dure comme ça toute la journée pendant des années, ça génère un impact émotionnel, et les impacts émotionnels, ça génère la sécrétion de cortisol, qui est l’hormone du stress, et donc hypertension artérielle, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux. C’est toute une cascade de risques cardiovasculaires qui se déclenchent avec cette régularité, ce harcèlement presque on pourrait dire, qui est dû au bruit. »\n\nC’est sans compter les autres conséquences du bruit, en particulier les répercussions sur la concentration et sur l’équilibre psychique.\n\nComment pouvez-vous rester sourds face à cette inquiétude ?\n\nComment vous y prendriez-vous pour « Éviter » les effets délétères sur la santé, et ne pas vous contenter de les « Réduire » ou les « Compenser » ?\n\n(1)\tCitation rajoutée à l’attention de Monsieur Kolhaas qui demandait à un participant à la visioconférence de ce mardi 11 janvier d’où il tirait ses chiffres sur le bruit."]
  • +["Quel que soit le fuseau envisagé, le bruit et les vibrations engendrés par le TPC auraient des effets délétères sur la santé des riverains.\n\nPage 48 de votre « dossier de concertation », rien de rassurant : \n[…] « Il n’existe actuellement pas de réglementation encadrant l’impact acoustique des modes de transport par câble en ville. » […] \n« Ces mesures font état d’émissions de l’ordre de 60 à 75 décibels (dB) au niveau des éléments en mouvement à l’intérieur des stations et en tête des pylônes (source mesures CEREMA). » (1)\n\nDepuis le 15 décembre, aucune question posée sur votre plateforme n’a reçu de réponse, pas plus à propos des nuisances sonores que des autres problèmes soulevés. De toute façon, avant cette date, les réponses apportées se contentaient de renvoyer à la page 48 de votre dossier ou restaient très générales et donc, en réalité, ne répondaient pas aux questions.\n\nPlusieurs contributions portent sur les effets des vibrations, infrasons, basses fréquences… \nAinsi, il a été fait référence à une étude épidémiologique : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412021005997\n\nAvant-hier, l’émission « Grand bien vous fasse » sur France Inter posait la question suivante : « Le bruit peut-il nous rendre malades ? » Pour l’écouter : https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-10-janvier-2022\nQuelques éléments de réponse, sans surprise : \n« Inconsciemment, le bruit nous ronge, surtout lorsqu’il est modéré, il nous ronge un peu tous les jours et même si on a l’impression de s’habituer, en fait, le corps encaisse cette nuisance et cette charge. »\n« Le stress chronique peut entraîner une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et puis des études européennes ont montré que les personnes exposées à des nuisances sonores chroniques de plus de 50 dB connaissaient davantage de cas d’hypertension, d’AVC ou de crises cardiaques […] Quand ça dure comme ça toute la journée pendant des années, ça génère un impact émotionnel, et les impacts émotionnels, ça génère la sécrétion de cortisol, qui est l’hormone du stress, et donc hypertension artérielle, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux. C’est toute une cascade de risques cardiovasculaires qui se déclenchent avec cette régularité, ce harcèlement presque on pourrait dire, qui est dû au bruit. »\n\nC’est sans compter les autres conséquences du bruit, en particulier les répercussions sur la concentration et sur l’équilibre psychique.\n\nComment pouvez-vous rester sourds face à cette inquiétude ?\n\nComment vous y prendriez-vous pour « Éviter » les effets délétères sur la santé, et ne pas vous contenter de les « Réduire » ou les « Compenser » ?\n\n(1)\tCitation rajoutée à l’attention de Monsieur Kolhaas qui demandait à un participant à la visioconférence de ce mardi 11 janvier d’où il tirait ses chiffres sur le bruit."]
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  • +["Quel que soit le fuseau envisagé, le bruit et les vibrations engendrés par le TPC auraient des effets délétères sur la santé des riverains.\n\nPage 48 de votre « dossier de concertation », rien de rassurant : \n[…] « Il n’existe actuellement pas de réglementation encadrant l’impact acoustique des modes de transport par câble en ville. » […] \n« Ces mesures font état d’émissions de l’ordre de 60 à 75 décibels (dB) au niveau des éléments en mouvement à l’intérieur des stations et en tête des pylônes (source mesures CEREMA). » (1)\n\nDepuis le 15 décembre, aucune question posée sur votre plateforme n’a reçu de réponse, pas plus à propos des nuisances sonores que des autres problèmes soulevés. De toute façon, avant cette date, les réponses apportées se contentaient de renvoyer à la page 48 de votre dossier ou restaient très générales et donc, en réalité, ne répondaient pas aux questions.\n\nPlusieurs contributions portent sur les effets des vibrations, infrasons, basses fréquences… \nAinsi, il a été fait référence à une étude épidémiologique : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412021005997\n\nAvant-hier, l’émission « Grand bien vous fasse » sur France Inter posait la question suivante : « Le bruit peut-il nous rendre malades ? » Pour l’écouter : https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-10-janvier-2022\nQuelques éléments de réponse, sans surprise : \n« Inconsciemment, le bruit nous ronge, surtout lorsqu’il est modéré, il nous ronge un peu tous les jours et même si on a l’impression de s’habituer, en fait, le corps encaisse cette nuisance et cette charge. »\n« Le stress chronique peut entraîner une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et puis des études européennes ont montré que les personnes exposées à des nuisances sonores chroniques de plus de 50 dB connaissaient davantage de cas d’hypertension, d’AVC ou de crises cardiaques […] Quand ça dure comme ça toute la journée pendant des années, ça génère un impact émotionnel, et les impacts émotionnels, ça génère la sécrétion de cortisol, qui est l’hormone du stress, et donc hypertension artérielle, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux. C’est toute une cascade de risques cardiovasculaires qui se déclenchent avec cette régularité, ce harcèlement presque on pourrait dire, qui est dû au bruit. »\n\nC’est sans compter les autres conséquences du bruit, en particulier les répercussions sur la concentration et sur l’équilibre psychique.\n\nComment pouvez-vous rester sourds face à cette inquiétude ?\n\nComment vous y prendriez-vous pour « Éviter » les effets délétères sur la santé, et ne pas vous contenter de les « Réduire » ou les « Compenser » ?\n\n(1)\tCitation rajoutée à l’attention de Monsieur Kolhaas qui demandait à un participant à la visioconférence de ce mardi 11 janvier d’où il tirait ses chiffres sur le bruit."]
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  • +["Quel que soit le fuseau envisagé, le bruit et les vibrations engendrés par le TPC auraient des effets délétères sur la santé des riverains.\n\nPage 48 de votre « dossier de concertation », rien de rassurant : \n[…] « Il n’existe actuellement pas de réglementation encadrant l’impact acoustique des modes de transport par câble en ville. » […] \n« Ces mesures font état d’émissions de l’ordre de 60 à 75 décibels (dB) au niveau des éléments en mouvement à l’intérieur des stations et en tête des pylônes (source mesures CEREMA). » (1)\n\nDepuis le 15 décembre, aucune question posée sur votre plateforme n’a reçu de réponse, pas plus à propos des nuisances sonores que des autres problèmes soulevés. De toute façon, avant cette date, les réponses apportées se contentaient de renvoyer à la page 48 de votre dossier ou restaient très générales et donc, en réalité, ne répondaient pas aux questions.\n\nPlusieurs contributions portent sur les effets des vibrations, infrasons, basses fréquences… \nAinsi, il a été fait référence à une étude épidémiologique : https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0160412021005997\n\nAvant-hier, l’émission « Grand bien vous fasse » sur France Inter posait la question suivante : « Le bruit peut-il nous rendre malades ? » Pour l’écouter : https://www.franceinter.fr/emissions/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-lundi-10-janvier-2022\nQuelques éléments de réponse, sans surprise : \n« Inconsciemment, le bruit nous ronge, surtout lorsqu’il est modéré, il nous ronge un peu tous les jours et même si on a l’impression de s’habituer, en fait, le corps encaisse cette nuisance et cette charge. »\n« Le stress chronique peut entraîner une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et puis des études européennes ont montré que les personnes exposées à des nuisances sonores chroniques de plus de 50 dB connaissaient davantage de cas d’hypertension, d’AVC ou de crises cardiaques […] Quand ça dure comme ça toute la journée pendant des années, ça génère un impact émotionnel, et les impacts émotionnels, ça génère la sécrétion de cortisol, qui est l’hormone du stress, et donc hypertension artérielle, infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux. C’est toute une cascade de risques cardiovasculaires qui se déclenchent avec cette régularité, ce harcèlement presque on pourrait dire, qui est dû au bruit. »\n\nC’est sans compter les autres conséquences du bruit, en particulier les répercussions sur la concentration et sur l’équilibre psychique.\n\nComment pouvez-vous rester sourds face à cette inquiétude ?\n\nComment vous y prendriez-vous pour « Éviter » les effets délétères sur la santé, et ne pas vous contenter de les « Réduire » ou les « Compenser » ?\n\n(1)\tCitation rajoutée à l’attention de Monsieur Kolhaas qui demandait à un participant à la visioconférence de ce mardi 11 janvier d’où il tirait ses chiffres sur le bruit."]
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Avatar: Agnès CABROL Agnès CABROL
Version créée le 12/01/2022 15:40
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