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Étape 3 sur 3

Bilan de la concertation 16/02/2022 - 15/05/2022

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Changements sur "Impact foncier du projet TPC"

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+{"fr"=>"Impact foncier du projet TPC"}

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+["Pourquoi ce projet minimise les impacts fonciers ?\n\nDans la rubrique Impacts fonciers du site internet du Sytral, il est mentionné que le TPC est un mode de transport qui nécessite une faible emprise au sol car il ne nécessiterait que des acquisitions foncières limitées principalement à l’implantation des stations et des pylônes.\n\nC’est à mon avis minimiser et réduire considérablement l’impact foncier.\n\n Il faut y ajouter l’impact concernant toutes les propriétés survolées et l’impact concernant les propriétés de part et d’autre du fuseau qui subiront une pollution visuelle et sonore. Quand la ligne survole une rue, on ne peut pas croire que les propriétés de part et d’autre de cette rue ne subiront pas :\n -a- une pollution visuelle permanente avec des cabines qui passent en permanence devant les yeux 18 heures par jour à 15 ou 20 secondes d’intervalle \n\t-b- une pollution sonore aussi permanente (notamment à proximité des pylônes au passage des galets des chariots et à proximité des machineries de relais\n -c- sans compter la pollution lumineuse quand il fera nuit.\n etc…\n\nPar ailleurs, quand vous mentionnez que la valeur des biens immobiliers proches d’un nouveau moyen de transport n’est pas impactée négativement, c’est un raisonnement qui ne prend pas en compte la diminution de la valeur des biens :\n- qui seraient situés à proximité immédiate du fuseau (donc impactés par les pollutions afférentes mentionnées ci-dessus) et en outre loin des stations qui seraient très espacées\n- qui bénéficieraient par ailleurs déjà de moyens de transport existants et compétitifs (notamment le transport par bus qui est un mode de transport extrêmement bien maillé) auxquels se superposerait le TPC qui serait superfétatoire\n- et qui donc subiraient tous les impacts négatifs sans aucun avantage.\n\nIl existe aussi un impact qui est difficilement quantifiable, c’est la mutilation irréversible des parcs, de la nature (flore et faune) et des paysages.\n\nDans le cas de votre projet, pourquoi ne prenez-vous donc pas en compte la dégradation de la valeur foncière de ces biens dans le montant de l’investissement ?"]

+["Pourquoi ce projet minimise les impacts fonciers ?\n\nDans la rubrique Impacts fonciers du site internet du Sytral, il est mentionné que le TPC est un mode de transport qui nécessite une faible emprise au sol car il ne nécessiterait que des acquisitions foncières limitées principalement à l’implantation des stations et des pylônes.\n\nC’est à mon avis minimiser et réduire considérablement l’impact foncier.\n\n Il faut y ajouter l’impact concernant toutes les propriétés survolées et l’impact concernant les propriétés de part et d’autre du fuseau qui subiront une pollution visuelle et sonore. Quand la ligne survole une rue, on ne peut pas croire que les propriétés de part et d’autre de cette rue ne subiront pas :\n -a- une pollution visuelle permanente avec des cabines qui passent en permanence devant les yeux 18 heures par jour à 15 ou 20 secondes d’intervalle \n\t-b- une pollution sonore aussi permanente (notamment à proximité des pylônes au passage des galets des chariots et à proximité des machineries de relais\n -c- sans compter la pollution lumineuse quand il fera nuit.\n etc…\n\nPar ailleurs, quand vous mentionnez que la valeur des biens immobiliers proches d’un nouveau moyen de transport n’est pas impactée négativement, c’est un raisonnement qui ne prend pas en compte la diminution de la valeur des biens :\n- qui seraient situés à proximité immédiate du fuseau (donc impactés par les pollutions afférentes mentionnées ci-dessus) et en outre loin des stations qui seraient très espacées\n- qui bénéficieraient par ailleurs déjà de moyens de transport existants et compétitifs (notamment le transport par bus qui est un mode de transport extrêmement bien maillé) auxquels se superposerait le TPC qui serait superfétatoire\n- et qui donc subiraient tous les impacts négatifs sans aucun avantage.\n\nIl existe aussi un impact qui est difficilement quantifiable, c’est la mutilation irréversible des parcs, de la nature (flore et faune) et des paysages.\n\nDans le cas de votre projet, pourquoi ne prenez-vous donc pas en compte la dégradation de la valeur foncière de ces biens dans le montant de l’investissement ?"]

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+["Pourquoi ce projet minimise les impacts fonciers ?\n\nDans la rubrique Impacts fonciers du site internet du Sytral, il est mentionné que le TPC est un mode de transport qui nécessite une faible emprise au sol car il ne nécessiterait que des acquisitions foncières limitées principalement à l’implantation des stations et des pylônes.\n\nC’est à mon avis minimiser et réduire considérablement l’impact foncier.\n\n Il faut y ajouter l’impact concernant toutes les propriétés survolées et l’impact concernant les propriétés de part et d’autre du fuseau qui subiront une pollution visuelle et sonore. Quand la ligne survole une rue, on ne peut pas croire que les propriétés de part et d’autre de cette rue ne subiront pas :\n -a- une pollution visuelle permanente avec des cabines qui passent en permanence devant les yeux 18 heures par jour à 15 ou 20 secondes d’intervalle \n\t-b- une pollution sonore aussi permanente (notamment à proximité des pylônes au passage des galets des chariots et à proximité des machineries de relais\n -c- sans compter la pollution lumineuse quand il fera nuit.\n etc…\n\nPar ailleurs, quand vous mentionnez que la valeur des biens immobiliers proches d’un nouveau moyen de transport n’est pas impactée négativement, c’est un raisonnement qui ne prend pas en compte la diminution de la valeur des biens :\n- qui seraient situés à proximité immédiate du fuseau (donc impactés par les pollutions afférentes mentionnées ci-dessus) et en outre loin des stations qui seraient très espacées\n- qui bénéficieraient par ailleurs déjà de moyens de transport existants et compétitifs (notamment le transport par bus qui est un mode de transport extrêmement bien maillé) auxquels se superposerait le TPC qui serait superfétatoire\n- et qui donc subiraient tous les impacts négatifs sans aucun avantage.\n\nIl existe aussi un impact qui est difficilement quantifiable, c’est la mutilation irréversible des parcs, de la nature (flore et faune) et des paysages.\n\nDans le cas de votre projet, pourquoi ne prenez-vous donc pas en compte la dégradation de la valeur foncière de ces biens dans le montant de l’investissement ?"]

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+["Pourquoi ce projet minimise les impacts fonciers ?\n\nDans la rubrique Impacts fonciers du site internet du Sytral, il est mentionné que le TPC est un mode de transport qui nécessite une faible emprise au sol car il ne nécessiterait que des acquisitions foncières limitées principalement à l’implantation des stations et des pylônes.\n\nC’est à mon avis minimiser et réduire considérablement l’impact foncier.\n\n Il faut y ajouter l’impact concernant toutes les propriétés survolées et l’impact concernant les propriétés de part et d’autre du fuseau qui subiront une pollution visuelle et sonore. Quand la ligne survole une rue, on ne peut pas croire que les propriétés de part et d’autre de cette rue ne subiront pas :\n -a- une pollution visuelle permanente avec des cabines qui passent en permanence devant les yeux 18 heures par jour à 15 ou 20 secondes d’intervalle \n\t-b- une pollution sonore aussi permanente (notamment à proximité des pylônes au passage des galets des chariots et à proximité des machineries de relais\n -c- sans compter la pollution lumineuse quand il fera nuit.\n etc…\n\nPar ailleurs, quand vous mentionnez que la valeur des biens immobiliers proches d’un nouveau moyen de transport n’est pas impactée négativement, c’est un raisonnement qui ne prend pas en compte la diminution de la valeur des biens :\n- qui seraient situés à proximité immédiate du fuseau (donc impactés par les pollutions afférentes mentionnées ci-dessus) et en outre loin des stations qui seraient très espacées\n- qui bénéficieraient par ailleurs déjà de moyens de transport existants et compétitifs (notamment le transport par bus qui est un mode de transport extrêmement bien maillé) auxquels se superposerait le TPC qui serait superfétatoire\n- et qui donc subiraient tous les impacts négatifs sans aucun avantage.\n\nIl existe aussi un impact qui est difficilement quantifiable, c’est la mutilation irréversible des parcs, de la nature (flore et faune) et des paysages.\n\nDans le cas de votre projet, pourquoi ne prenez-vous donc pas en compte la dégradation de la valeur foncière de ces biens dans le montant de l’investissement ?"]

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Auteur de la version

Pierre Bach

Version créée le 07/02/2022 16:06